récits hot

Mardi 5 mars 2 05 /03 /Mars 04:27

Les rebeu du foot


Je déteste les déménagements, encore plus quand c'est pour passé d'un appartement d'un quartier tranquille de Nancy à un appartement d'un quartier chaud de Paris !
Je me présente, je m’appelle Alexandre, je mesure 1m77 pour 65 kilos, je suis brun aux yeux bleu. Je me trouve plutôt pas mal, pour preuve j'arrive à avoir toutes les nanas et tous les mecs que je veux, ah oui, j'oubliais de vous dire, je suis bi. Cela ne me pose aucuns problèmes, on a qu'une vie et il faut savoir en profiter à fond, et qui dit garçons et filles dit deux fois plus de sexe ! Mes passions dans la vie ? Le foot et mes amis. Voilà je crois que tout est dit !
Mes parents et moi on vient de déménager à cause du boulot de mon père, je vais rentrer en terminale donc je vais découvrir un nouveau lycée et sûrement me faire de nouveaux potes. Mais pour le moment il me reste deux mois de vacances à tuer, il va falloir que je trouve un moyen de m'occuper, demain j'irais voir si un il y a un club de foot dans le coin.
Je suis réveillé tôt le matin par les cris des voisins du dessus, ils hurlent dans une langue que je ne comprends pas, de l'arabe certainement.
Pas grave, l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ! Ni une ni deux j'enfile un jogging, je prends mon sac de sport et je vais dehors. Si il y a un stade il sera forcément indiqué quelque part ! Ça tombe bien je n'ai pas fait 200 mètre que je tombe sur un mec d'à peu près mon âge qui a des crampons au pied

- « Excuse moi, je vois que t'es habillé en tenue de foot, tu pourrais m'indiquer la direction du stade ? »
- « Ouep ! Pas d'problème cousin, y'a un terrain pas très loin, j'y vais aussi, si tu veux on y va ensemble ? »

Durant le temps du trajet, j'apprend que mon interlocuteur se prénomme Hakim et qu'il a mon âge, il habite ici depuis qu'il est tout petit. Hakim est vraiment beau gosse, il est très typé rebeu, cheveux noirs et yeux noirs, teint basané il est un peu plus petit que moi.

-« Voilà on est arrivé ! » me dit il

Le terrain n'est pas trop moche il a l'air plutôt récent. « Reste là je vais demander au coach si y'a moyen de te faire intégrer l'équipe »

Quelque minutes plus tard Hakim me rejoint accompagné d'un grand black d'une trentaine d'année.

-« Salut moi c'est Etienne, je suis l’entraîneur de l'équipe de Hakim, tu tombes bien on était en manque d'un joueur ! Si ça t’intéresse tu peux commencer tout de suite ! »

J’accepte la proposition avec joie, Hakim m'indique la direction des vestiaires pour que je puisse me changer. Lorsque j'en sors tous les joueurs attendent devant, je me sens un peu comme un animal dans un zoo. J'en profite pour jeter un œil à la composition de l'équipe. Ça n'est pas une équipe très mélangée, il n'y a que des arabes, ça n'est pas pour me déplaire puisque je trouve que les rebeu sont super sexy. Certains sont moins typés que d'autres ont jurerais même qu'ils n'ont aucunes origines, mais en y regardant de plus près cela se voit quand même, surtout au niveau des yeux et de la pilosité.
Après deux heures d’entraînement et de jeux j'apprends à connaître mes coéquipiers. Ils sont vraiment tous très sympa, loin de l'image que l'on se fait des jeunes des banlieues, cela m'apprendra à regarder trop souvent TF1.
Étienne siffle le coup d’arrêt de la séance et nous nous dirigeons tous vers les vestiaires, je suis en sueur et une bonne douche ne me fera pas de mal, heureusement que j'ai pensé à prendre ma serviette.
Nous nous déshabillons et nous nous dirigeons vers les douches, certains gardent leur serviette autour de leur taille, moi je n'ai aucune pudeur et je suis plutôt fier de ce que j'ai entre les jambes. Je trouve ma bite vraiment très belle, blanche comme le reste de ma peau, 14cm sans bander, le prépuce recouvrant le gland dans sa totalité.
Arrivé dans les douches nous nous retrouvons tous nus les uns en faces des autres. Quel plaisir de voir ces magnifiques rebeu sous l'eau de la douche. Ils sont tous circoncis et je trouve cela intriguant, je ne peux m’empêcher de poser la question à Hakim.

- « Vous êtes tous circoncis ça veut dire que vous êtes tous musulman c'est ça ? »
- « Ahah tu veux te convertir ? » dit il en rigolant « oui et non, c'est surtout traditionnel, chez les arabes quant tu te fais circoncire c'est que tu deviens un homme »
- « Donc tu me considère pas comme un homme ? »
- « Si t'inquiète frère, en plus t'es plutôt bien équipé» il accompagna sa phrase d'une petite tape amicale sur mon épaule.

Je ne peux résister, je suis obligé regarder en détail les queues des joueurs de mon équipe.
A ma droite celle de Hakim, elle est plus large que longue, elle est un peu plus foncée que son propriétaire et elle repose sur une bonne paire de couille contracté, son gland est lui aussi plutôt foncé et il est mis en valeur par une circoncision réussi ne laissant qu'une discrète cicatrice à sa base. Ses poils noir forment un chemin partant de son nombril et arrivant jusqu'à son pubis, il semblerait qu'il se les tailles. Au niveau du torses seul quelque poils naissant font le tour de ses tétons.
J'aimerais bien pouvoir observer ses fesses mais il n'est pas dos à moi.

- « Hakim, ça t’embêterait de me prêter ton savon ? J'ai oublié le mien chez moi ... »
- « Non pas de problème cousin, tiens »

Gagné ! En se baissant pour ramasser son savon il s'est tourné et j'ai pû observer ses deux petites fesses rondes. Elles sont recouvertes par un léger duvet de poils noir, on en mangerait.
En face de moi Samir, il a une véritable trompe entre les jambes, une vraie queue de rebeu. Elle est basanée, les bourses de Samir sont relâchés et elles pendouillent aux rythme de ses mouvements. L'eau coule le long de sa queue, fait un tour autour de son gland puis retombe au sol. Samir a une pilosité développé, il faut dire que cela lui va bien, il est plutôt massif et les poils le rende encore plus viril. Ses poils vont de ses pecs jusqu'à son pubis.
A ma gauche, Mehdi, lui n'est pas vraiment typé rebeu.

- « Mehdi on t'as déjà dit que tu faisais moins arabe que tes potes? » dis-je d'un air étonné
- « Oui c'est parce que mon père est Français et ma mère est arabe »
- « Mais pourtant t'es circoncis, t'es musulman alors ? »
- « Non, comme Hakim te l'a expliqué avant c'est juste traditionnel, tous les mecs qui ont des origines arabes même si c'est que d'un parent sont circoncis sinon ce sont pas des vrais homme. »

Décidément, j'aurais appris pleins de choses aujourd'hui.
Pourtant, la queue de Mehdi est typée, comme si seul cette partie de son corps avait hérité des gènes rebeu. Elle est longue, large, et très foncée, son gland a l'air plutôt sec. Ses boules sont plutôt imposantes comme si cela faisait longtemps qu'il ne ses les étaient pas vidées.
Nous nous séchons et nous sortons de la douche, la plupart des beaux rebeu de l'équipe sont encore à poils dans les vestiaires et ils n'ont pas l'air pressé de s'habiller. Beaucoup sont posés sur les bancs la queue à l'air, certains se la gratte nonchalamment. On a un l'impression qu'ils se croient tous dans un harem.
Je suis assis tranquillement en train de rêvasser quand une main vient m'enserrer la queue. C'est Redouanne le capitaine de l'équipe. Il me décalotte doucement et me demande d'un air interloqué.

- « Ça te sert à quoi ce truc ? » dit il en pointant mon frein du doigt.

Je suis plutôt gêné par la situation, je ne lui ai pas donné l'autorisation de me toucher, mais bon il ne vaut mieux pas se mettre le capitaine de l'équipe à dos.

- « C'est le frein, ça sert à retenir le prépuce, tu n'en a pas ? »
- « Non regarde »

Redouanne soulève sa queue et effectivement, à l'endroit ou normalement se trouve le frein il n'y a rien, cela doit être pareil chez tous les membres de l'équipe, cette situation m'amuse un peu, on aurait dit que je suis un extraterrestre. « Les mecs venez voir, le Céfran a une teub trop bizarre ! »

Tous les mecs de l'équipe accoururent nus autour de moi.

- « Et comment tu fais pour te taper une queue alors ? » demande Nassim, le gardien.
- « Bah comme vous sauf que moi je peux faire coulisser ma peau plus facilement »
- « Les mecs ça vous dit un petit concours de jute ? Si il gagne un de nous devras bouffer son foutre, si c'est nous qui gagnons il devra se prendre le foutre de tous les rebeu ici présent dans la bouche, ok ? »

Pour qui il se prend celui là ? Je vais lui mettre sa patté il va voir.
Redouanne monte sur un banc pour qu'on l'entende mieux, en faisant cela il met sa grosse queue au niveau de la tête de tout le monde. Il explique que le but est de se branler pour gicler le plus vite possible.
Chaque mec va se positionner à un endroit de la salle. Je suis sûr de gagner puisque grâce à mon prépuce je peux me masturber plus vite qu'eux.
Nous commençons tous, je bande en un rien de temps. Il faut dire que c'est vraiment excitant de voir tous ces mâles dominant affaibli par le plaisir. Je fais un rapide tour de salle. Hakim est allongé sur un banc, il a les yeux clos et la bouge ouverte, son corps se contracte au fur et à mesure des lents va et vient qu'il effectue sur sa hampe.
Nassim est en face de moi, il est à quatre patte. Il fait rapidement bouger sa main sur sa grosse teub circoncise d'Arabe, je vois ses bourses qui ballottent entre ses fesses. Il a le regard perdu dans le vague sa bouche imprime un sourire de béatitude.
Soudain, mes yeux se fixent sur Mehdi, il me regarde d'un air de défi. Il approche sa main de sa bouche et crache dedans. Puis il commence à se masturber frénétiquement. La salive faisant office de lubrifiant naturel. Son corps se contracte rapidement, ses yeux sont révulsés et sa respiration haletante, on dirait un véritable animal. Je commence à paniquer j'ai l'impression qu'il va bientôt lâcher son jus. Effectivement, quelques seconde plus tard, il hurle plusieurs mots en arabe, son visage est déformé par le plaisir, et il lâche sur son ventre une quantité impressionnante de sperme d'un blanc contrastant avec la couleur de sa queue.

- « Ahaha bien joué frère, tu montres à tous ce qu'est un vrai rebeu, vous savez ce qu'il nous reste à faire les mecs ? »

Aussitôt tous s'approche de moi, résigné j'accepte mon sort, après tout on peut voir ça comme une forme de bizutage. C'est Hakim qui approche son zob de ma bouche le premier, je le gobe en entier, ma salive coulant le long de la cicatrice de sa circoncision. Sa teub sent fort, ça sent l'homme et cela m'excite encore plus. Il ne tarde pas à lâcher sa sauce dans ma bouche en poussant un grognement rauque.
Le foutre de rebeu a un goût vraiment excellent, j'ai l'impression de boire un liquide épicée.
Viennent ensuite Redouanne et Nassim, ils me demandent de cracher sur leurs queues afin de les lubrifier. Puis ils commencent à se masturber rapidement au dessus de ma bouche.

- « Je vais venir frère » lâche Redouanne à Nassim dans un puissant râle
- « Moi aussi …» hurle Nassim avant de lâcher deux puissant jet de foutre crémeux dans ma bouche, le plaisir est tellement fort qu'il vacille et tombe en arrière contre le sexe de Samir.
Redouanne lâche son jus quelque seconde après, j'ai l'impression que je vais m'étouffer tellement il y en a. J'avale tout sans broncher.

Durant encore plusieurs minutes encore, les membres de l'équipe se succèdent et lâche leur jus dans ma bouche, c'est un véritable florilège de grognements et d'insultes en arabe.
Une fois qu'ils ont tous fini de se vider, Hakim vient vers moi, me donne une tape amicale dans le dos et me dit

-« Voilà tu es l'un des nôtres maintenant ».

Par rebeuxgays - Publié dans : récits hot
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Vendredi 21 septembre 5 21 /09 /Sep 23:52

Je m’appelle Mika, j’ai 23 ans, 1m75, 65kg, yeux bleus, cheveux blonds, longs coiffés en « queue de cheval ». Sans être efféminé, je suis plutôt mignon. Je suis bien monté et la nature m’a donné un beau petit cul cambré qui fait tourner bien des regards. Et inutile de vous dire que mes petites fesses, je les prête volontiers aux mecs qui me font flasher. L’histoire que je vais vous raconter et une histoire de viol. Je tiens à dire que je considère que le viol est un crime horrible. Mais, mon histoire n’est qu’un fantasme et le « violé » est très consentant… Disons qu’il est juste un peu « persuadé »…
Je rentrais par une belle nuit d’août de chez des amis (hétéros) et j’avais passé une bonne soirée. Vers quatre heures du matin, je marchais sous le ciel étoilé dans un quartier pavillonnaire de banlieue. Je rejoignais la maison de mes parents. J’étais vêtu d’un t-shirt, d’un jeans, d’un caleçon CK et de tennis blancs. Par précaution, puisque circulant à pied la nuit, je n’avais rien de valeur sur moi, pas d’argent, juste ma carte d’identité. Je n’étais pas trouillard, mais je pensais ainsi m’éviter des ennuis.
Arrivant à proximité d’un petit parc, je vis à 50 mètres environ, un groupe de jeunes garçons. De loin à leur allure (casquettes et pantalon blancs), je vis qu’il s’agissait de jeunes beurs. J’aime bien ce type de mecs. Ils ont des corps peu ou pas poilus et sexuellement, ils ne se posent pas de question, obéissant à leur instinct du moment. Je n’étais tout de même pas trop rassuré car ils étaient six et paraissaient désœuvrés. Mais il était trop tard pour reculer et prendre un autre chemin, ils m’avaient bien vu.
Arrivé à leur hauteur, je pressai le pas mais deux garçons me barrèrent le passage. « Où va-tu comme ça beau blond, t’es pressé ? » me dit l’un d’eux qui semblait le chef de bande. Et sans attendre la réponse il ajouta « Donne ton fric. » « J’en ai pas, » répondis-je. Et me menaçant d’un cutter, ils me poussèrent à l’intérieur du jardin public. Les quatre autres garçons rejoignirent le groupe.
« Fouillez-le, » dit le chef qui je l’entendis plus tard s’appelait Karim et il ajouta: « Bouge pas sinon tu prends un coup de cutter sur la jolie petite gueule. » Malgré la trouille, je m’aperçu qu’il était plutôt beau et bien foutu le Karim. Lui d’ailleurs était en jeans ainsi qu’un mec qui semblait rivaliser avec Karim. Les autres qui me semblaient pas mal non plus étaient en pantalon de survêtement blanc.
« Foutez-le à poil, » dit Karim. « On va voir s’il ne planque rien. » À six autour de moi et sur moi, je n’avais aucune chance d’y échapper, aussi je préférai me laisser faire que de recevoir de mauvais coups ou pire un coup de cutter.
Ils me déchirèrent mon t-shirt et l’un d’eux que ses copains appelaient Rachid, dit: « On va jouer à la guerre des boutons. » Rachid sortit un couteau et un à un coupa les boutons de mon jeans. Ils me poussèrent dans l’herbe et me retirèrent mes tennis. Puis ils ont tiré mon jeans par les pieds. Rachid a fouillé mes poches mais en vain…
Alors Karim s’est approché et a vu mon caleçon blanc CK. Il s’est écrié: « Il a au moins un beau caleçon. À défaut de fric, je vais le prendre pour moi. » Et il a descendu mon caleçon qu’il a retiré de mes jambes et l’a mis dans ses poches.
J’étais complètement à poil devant ces six mecs sauf mes chaussettes blanches qui ne le restèrent que quelques minutes. Ils me firent relever et un des garçons me passa un doigt dans la raie des fesses. « pour voir si je planquais rien » dit-il. Karim me regardait et dit à ses copains: « Mais il bande! » (c’est vrai je bandais à moitié, me retenant pour ne rien leur montrer, mais ma bite ne voulait plus obéir à ma tête) « C’est un PD! » annonça Rachid. « D’ailleurs il se rase les poils du cul et des boules, » dit celui qui m’avait mis la main au cul. Je commençais à avoir la trouille car il n’avait pas trouvé de fric et je pensais qu’ils allaient me tabasser. C’étaient peut-être des casseurs de PD.
Cependant Karim dit: « Vous avez vu son beau cul? Et il a une peau de fille, » ajouta-t-il en me caressant les fesses. « Dites les mecs, il est 4h, on a plus de fric et on trouvera plus de filles, je propose qu’on l’encule. »
J’étais coincé au milieu de ces six mecs. Je ne pouvais qu’y passer. Ce n’était pas complétement pour me déplaire mais j’avais peur qu’ils soient trop violents (mon cul avaient connu plusieurs bittes mais pas six à la suite l’une de l’autre).
« T’as le choix, » me dit Karim. « Tu te laisses faire, on te baise et tu suces tant que nous n’aurons pas les couilles vides et après on te laisse partir sans te tabasser, sinon on te frappe, éventuellement on te découpe un peu; tiens, on pourrait te circoncire! » Et il m’attrapa la bite par le bout, tira la peau qui recouvrait mon prépuce, sortit son couteau et le posa sur ma peau. « Alors, on coupe? » me demanda-t-il. « Non! » dis-je. « Je ferai ce que vous voulez. » « Voilà qui est raisonnable, » dit Karim. « Car consentant ou non on t’aurait toujours tiré. Allez à quatre pattes! » me dit-il.
« Je suis un mec sympa, » me dit Karim. « Je suis sûr que tu vas aimer sucer ma grosse queue pour commencer et quand je l’aurai encore plus raide, je te défonce le cul. » Rachid qui me regardait dit à Karim: « Tu vas pas baiser un mec qui bande non? » « T’as raison Rachid. » Puis s’adressant à moi il m’ordonna: « Branle-toi et vide tes couilles. D’ailleurs ça te fera du bien » ajouta-t-il.
Je m’exécutais donc. Mais je ne voulais pas être en reste et je les provoquais un peu me masturbant d’une main et me caressant de l’autre les seins et les fesses. Pendant ce temps, les six garçons s’étaient mis à l’aise. Karim et Rachid avaient débraguetté leur jeans et sorti leur bite. Karim avait la plus longue (au moins 20cm) et assez large. Quant à Rachid elle était un peu moins longue et mais très large. Comme tous les Arabes, ils étaient circoncis. Les quatre autres avaient retiré le bas de leur survêtement et leur slip pour être plus à l’aise. En tout cas, ils bandaient tous et cela m’excitait beaucoup. Quelques instants plus tard je balançais dans l’herbe de longues giclées de foutre blanc.
Karim me poussa à ses pieds et me dit: « Suce salope! » Il retira l’élastique qui tenait mes cheveux et me dit: « Tiens, ainsi tu auras plus l’air d’une fille. » Et mes cheveux blonds couvrirent une partie de mes épaules. La « salope » ouvrit la bouche et avala le membre chaud. L’engin de Karim sentait bon le jeune mâle et j’avais beaucoup de plaisir surtout qu’il semblait bien apprécier ma langue et mes lèvres. « Arrête! » me dit-il. « À quatre pattes, montre ton cul. » J’eus un peu peur et lui dit d’un ton demandeur et interrogatif « Vous mettez des capotes? »
Ils se mirent tous à rire et Karim me dit: « On te viole mon petit bourge, les violeurs ne mettent pas de capote, on va te remplir le cul! » et puis, plus rassurant il ajouta: « T’inquiètes pas on s’est jamais fait baiser et la première fois qu’on va fourrer un mec. » Je n’étais pas pour autant rassuré, mais l’idée de me faire baiser sans capote et de ne pas avoir le choix m’excitait beaucoup. Je n’avais fait cela qu’une fois sans capote, je jour de mon dépucelage avec un mec aussi puceau que moi.
Karim se positionna derrière moi et je pensais qu’il allait m’enculer à sec et j’avais peur d’avoir très mal. Mais à ma grande surprise, il me cracha plusieurs fois dans la raie des fesses et sur la rondelle. Puis il mit un doigt puis deux pour faire entrer un peu de salive. « Tu vois, on n’est pas des salauds, on veut pas t’esquinter, juste prendre un bon pied! » « Moi je t’aurais enculé à sec, » dit Rachid.
Mais les bonnes manières étaient terminées et Karim s’enfonça d’un seul coup dans mon cul. Ouah! le morceau. Il me ramona vivement et je prenais un pied d’enfer avec mon cul et je me mis à bander. Rachid passa devant moi poussa sa bite bandée dans ma bouche et me dit: « Suce! » Il essayait de me la mettre au plus profond.
Karim et Rachid jouirent en même temps en criant leur plaisir. Rachid m’avait tenu par les oreilles pour me forcer à avaler. Il n’en finissait pas de jouir et j’ai failli m’étouffer. Karim lui se déversait dans mon cul et j’ai senti ses jets de foutre chaud dans mon ventre. J’étais tellement excité que je me mis à juter dans l’herbe alors que je ne m’étais même pas touché.
Quelques instants de répit et les quatre autres qui sans doute avaient été bien excités de la scène s’approchèrent. Je dus sucer deux bites en même temps et dans mon cul les deux autres mecs se relayaient. Je ne ressentais rien que du plaisir car la taille de la bite de Karim et son foutre avaient bien préparé le terrain. En l’espace d’un quart d’heure, les couilles s’étaient vidées plusieurs fois dans ma bouche ou dans mon cul. Je ne pouvais plus compter ni savoir qui faisait qui ou quoi. J’avais mal à la mâchoire et le foutre débordait de mon cul.
Je pensais que c’était fini et qu’ils allaient partir mais Rachid et Karim s’approchèrent de moi. J’étais toujours à 4 pattes offrant mon cul à leurs désirs. Rachid me mit un doigt dans le cul et dit « Ah merde, il est plein! » et je lui dis: « Tu vois, ça sert au moins à ça les capotes. » Rachid était fou de rage et me donna un coup de pied dans le ventre qui me fit tomber sur le côté. Mais Karim le retint et lui dit: « Prends pas la mouche et encule-le. » Mais Rachid ne l’entendait pas comme ça et dit à Karim: « Il mérite quand même une punition, je vais le corriger, » et il ajouta « qui c’est le mâle ici ». Il me dit à « quatre pattes. » Puis, je le vis défaire la ceinture de son jeans. Avec sa ceinture il me fouetta avec rage et violence. J’avais le cul en feu mais pas pour la bonne cause. Mais Karim qui était bien le chef de la bande lui dit « Arrête Rachid ça suffit. »
Rachid qui s’était calmé lui obéit aussitôt. Puis il m’entraîna vers la table de bois du parc et me fit allonger dessus, les fesses sur le bord. « Relève les jambes, » me dit-il et il m’empala d’un seul coup de sa bite bien large. Heureusement cinq bites m’avaient déjà pénétré et m’avaient bien élargi le cul et le foutre qui continuait de couler de mon trou constituait un bon lubrifiant. Rachid me baisa violemment.
Karim vint nous rejoindre et je fus surpris de le voir tranquillement retirer son jeans et son slip. Il monta sur le banc pour se mettre à califourchon sur moi. Je comprenais maintenant pourquoi il s’était ainsi déculotté, c’était pour être plus à l’aise. Mais qu’il était beau: de belles jambes peu poilues et bien musclées. J’eus même le temps de voir ses fesses bien rondes et imberbes. Quant à son pénis que je connaissais déjà je n’aurais eu aucune chance de me voir au repos…
Il s’installa donc sur ma poitrine, sa bite bandée à quelques centimètres de ma bouche, je le regardais dans les yeux et passais ma langue sur mes lèvres pour l’exciter. Il ne disait rien, alors j’ouvris la bouche et il y introduisit son pénis. Je me mis à le lécher, le sucer, ma langue tournait autour de son gland. D’une main, je le branlais doucement. Je glissais mon autre main sous ses couilles. Il soupirait d’aise, mon doigt continua et atteint son petit trou. Il me dit: « Touche pas ça! » mais il ne fit rien pour se dégager. Aussi tout en continuant à le pomper et lui caresser les couilles, j’entrai juste le bout de mon index dans son cul. Cette fois-ci, il ne dit rien et continua à râler.
Rachid continuait à me bourrer et pourtant je l’avais presque oublié alors que je jouissais du cul. Mon sexe était raide à nouveau et j’ai eu la surprise de sentir une bouche chaude et humide sur mon gland. Je me penchais un peu et vit que c’était Momo, le plus jeune des mecs qui me pompait. Il me caressait les couilles et le ventre et me branlait doucement. Je ne savais plus du tout où était mon plaisir, dans mon cul, autour de ma bite ou dans ma bouche, mais je crois que c’était le plaisir que je donnais à Karim qui m’apportait le plus de bonheur.
Et presque en même temps, ce fut l’explosion: Karim se vidait au fond de ma bouche et j’eus l’impression d’avaler des litres de foutre et que sa jouissance ne s’arrêterait pas. Je me mis à juter dans la bouche de Momo qui à ma surprise avala tout mon foutre. Enfin Rachid se mit à hurler et je sentis à nouveau dans mon cul de nombreux jets de sperme. Karim se releva après que je lui aie rendu une bite bien propre. Rachid se retira et j’eus une sensation de vide dans le cul. Je me relevais de la table et quand je fus debout, le sperme coulait sur mes jambes s’échappant de mon cul qui semblait ne plus vouloir se refermer.
Mes six « amants » se rhabillaient lentement, ils semblaient un peu fatigués. Je retrouvai mon t-shirt déchiré et mon jeans sans bouton que je renfilais moi aussi doucement. Le soleil se levait et les six beurs partirent rejoindre leur voiture sans se retourner sur moi. J’étais à la fois honteux d’avoir pris du plaisir à subir ainsi six mecs en chaleur, satisfait d’avoir tant pris mon pied et déçu de voir partir Karim sans un regard. Je m’apprêtais à quitter le square quand je vis Karim revenir vers moi. Il s’arrêta devant moi et me dit: « Tiens, voilà ta carte d’identité, je l’avais mise dans ma poche pendant la fouille. » Puis il posa un rapide et bref bisou sur mes lèvres, se retourna et partit en courant.
Je regardai ma carte d’identité. Un numéro de téléphone y était inscrit au crayon…
Alors je pensais à Jean Genet qui disait que celui qui encule aime celui qu’il baise ne serait-ce que quelques instants et je suis parti en pleurant mais plein d’espoir.

Par rebeuxgays - Publié dans : récits hot
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Mardi 13 mars 2 13 /03 /Mars 17:55

Ça faisait quatre ans que je n’avais pas vu Sofiane, depuis le lycée en fait. Moi j’étais parti taffé sur Paris, lui était resté en province et on s’était perdus de vue. Et là, bingo! De passage pour le weekend dans le sud, je tombe sur Sofiane en uniforme à l’entrée d’un grand magasin. Mon pote était devenu agent de sécurité et le costard bleu marine tranchait un peu avec sa gueule de lascar. On s’était échangés nos phones vite fait en promettant de se donner des nouvelles et j’étais remonté sur Paris sans y croire plus que ça.

Trois semaines plus tard, surprise! J’ai un message de Sofiane sur mon répondeur qui m’annonce qu’il débarque chez oim pour le weekend. Quarante huit heures en tête-à-tête avec ce beau rebeu qui vient chez moi pour, comme il le dit sur le message, «taper un pur WE de folie à Panam»!

Moi, j’ai bien une idée de ce que je voudrais qu’on se tape tous les deux. Sofiane m’a toujours fait kiffé: il est grand, dans les un mètre quatre- vingt-dix, carré et avec une bonne tête de caillera comme je les aime. Je me souviens de la première fois que j’ai vu sa teub sous les douches après un cours de sport. J’ai dû me rincer en deux deux pour sortir me rhabiller au plus vite, impossible de contrôler la gaule que la vue de son braquemard de molosse m’avait mise. J’étais trop timide à l’époque pour tenter quoi que ce soit mais aujourd’hui, quatre ans plus tard...

J’ai tout prévu pour l’accueillir dans mon studio et bien le chauffer: petite visite hot à Pigalle, un petit film de boule tombé par hasard quand on rentre bien och à l’appart et la fin de la nuit tous les deux dans mon pieu, c’est ça le grand avantage des micros studios de la capitale!

Le vendredi soir, je vais récupérer Sofiane à la Gare de Lyon. À peine descendu du train, je ne vois que lui au milieu de la foule. Sapé en survêt blanc logué, la démarche balancée du scarla modèle, le sac de sport sur l’épaule, il en jette un max. Je suis tellement scotché que je n’ai remarqué son cousin Hassan que quand il est venu me serrer la main. Un roi du gag ce Sofiane! Il me ramène son zincou pour le weekend sans me prévenir. Il doit voir à ma tête que je suis un peu contrarié par cet invité surprise et il me chope par l’épaule pour m’attirer vers lui:

— T’inquiètes, il est trop tranquille mon zincou. Avec lui, on peut se taper tous les délires qu’on veut, il est toujours partant. Pis c’est un bogosse, matte! Je croyais que ça te ferait plaisir!

Il éclate de rire et on trace tous les trois à mon appartement. Pendant le trajet, j’en profite pour mater Hassan en repensant aux paroles de mon pote Sofiane. C’est vrai qu’il est bogosse lui aussi: un soixante-quinze pour soixante kilos, musclé sec, sûr de sa petite gueule de racaille et de son regard insolent. Il est assis en face de moi dans le métro et il me regarde les jambes écartées, la main dans la bande élastique du survêt. J’aperçois les quelques poils qui couvrent ses plaquettes d’abdos, le teint mat de sa peau et l’élastique de son caleçon blanc de marque. Il avait raison Sofiane, finalement ça me fait plaisir son invité surprise et j’espère que ce n’est qu’un début!

Arrivés dans mon mini studio, les deux zincous ont l’air un peu surpris par la confidentialité du lieu. Sofiane m’explique qu’il a un rencard avec un pote et qu’il en a pour deux heures à s’absenter. Il me confie le soin de «bien s’occuper de son zincou Hassan» le temps qu’il revienne. M’occuper d’Hassan, mais c’est quand il veut!

Aussitôt que Sofiane a quitté l’appart, je propose à Hassan de prendre une douche pour se remettre de son long trajet en train. Direct, la petite racaille commence à se déssaper devant moi. Le truc de ouf! En quelques secondes, mon invité surprise est en caleçon moulant devant mes yeux ébahis, le torse bombé et la teub bien moulée dans le tissu blanc qui contraste avec sa peau matte. Il va se poser dans la salle de bain et passe sous la douche. J’entends l’eau couler, j’imagine les gouttes ruisselées sur son corps et j’ai une trique d’enfer. La voix d’Hassan me sort soudain de mes pensées lubriques, le zincou me réclame une serviette pour s’essuyer. Évidemment, je ne me fais pas prier pour débarquer dans la salle de bain et je tombe sur le beau rebeu à oilp, attendant patiemment que je lui passe de quoi se mettre au sec. Putain il est canon le keumé! Tout en muscles secs, les jambes légèrement poilues, le torse imberbe avec de bons pecs et... un zob d’au moins quinze centimètres qui pend entre ses cuisses musclées.

Je prends tout mon temps pour lui choisir une belle serviette de bain et je me place face à lui pour lui remettre. Il n’a pas l’air gêné du tout de se retrouver la teub à l’air devant moi et commence à s’essuyer tranquillement. Un peu perturbé, je reste debout à le mater sans rien dire. Il lève ses yeux noirs vers moi et me dit:

— Wesh mon pote, t’as vu un peu le sportif! Tu crois que y’a moyen d’attraper quelque chose sur Paname quand on est gaulé comme oim?

— Alors là tu chopes ce que tu veux quand tu veux Hassan!

— Cool, je sens qu’on va bien s’éclater ici. Tiens, vas-y, frotte moi le dos s’te plaît.

Le rêve éveillé se poursuit: Hassan me tend la serviette et me tourne le dos. Ses épaules sont larges et puissantes et il a un petit cul légèrement poilu, bien rebondi qui me refile direct une gaule d’enfer, incontrôlable. Je lui frotte le dos avec vigueur quand il saisit ma main et la ramène devant lui sur sa teub. Il bande déjà un peu et se retourne carrément devant moi:

— T’as vu le morceau man, y’a de quoi rendre ouf tous les parisiens et les parisiennes, non?

Tu m’étonnes! Je salive déjà à la vue du calibre qu’il me propose. Mon regard croise le sien qui pétille d’une petite lueur de vice. Pas la peine d’échanger plus de mot, le message est clair entre nous. Je plonge à genoux sur le carrelage de la salle de bain et je commence à lui pomper le zob. Sa teub grossit à vue d’œil sous mes coups de langue experts. Je lui titille le gland avec dextérité, caresse ses boules bien pleines et en une poignée de secondes, il trique comme un vrai acteur de X professionnel. Waouh, sacré morceau le zincou! Apparemment c’est de famille, déjà Sofiane m’avait impressionné sous les douches en sport au lycée mais son cousin n’a rien à lui envier. Vingt-deux centimètres de teub, bien large, matte et circoncise: de quoi me rassasier pour mon quatre heure!

Bien en appui sur ses deux jambes musclées, Hassan passe sa main derrière ma nuque pour mieux guider ma tête sur son zboub. Je salive comme une chienne pour bien lubrifier sa queue et il arrive à m’en enfoncer les deux tiers dans la bouche. Je suis obligé d’écarter ma mâchoire au maximum pour pouvoir en avaler le plus possible. Tranquille, Hassan me lime la gueule debout, les muscles contractés, et je m’aperçois qu’il prend son pied à se mater dans la glace de la salle de bain en train de se faire tailler une pipe. De mon côté j’ai sorti ma teub et je me branle tout en suçant avec application, de quoi lui laisser un bon souvenir de son passage à la Capitale.

Il accélère soudain le rythme et me bloque la tête entre ses mains. Ses coups de reins dans ma gueule s’accélèrent et je sens sa grosse teub qui me défonce le fond de la gorge. J’accélère moi aussi le mouvement de ma main droite, y’a de la giclette dans l’air... et sur le carrelage! Hassan se cambre subitement, sors son zgeg baveux de ma bouche et s’astique le morceau frénétiquement. Il pousse des grognements de mâle en rut et décharge des jets puissants de sperme épaix et crémeux sur le carrelage. J’enchaîne dans la foulée et le sol de la salle de bain se transforme en patinoire à foutre!

Hassan s’essuie vite fait et part au salon pour se rhabiller pendant que je nettoie l’étendue des dégâts. Je le retrouve, vautré sur le lit, une clope à la main et il me matte avec un petit sourire de satisfaction:

— C’est chaud Paname! En tout cas pas un mot de ce qu’on vient de faire à mon zincou, je suis pas sûr qu’il kiffe ce genre de plan, ok?

— Pas de blèm Hassan, ça reste entre nous.

Il peut en penser ce qu’il veut, je compte bien faire le nécessaire pour chauffer aussi Sofiane afin qu’on puisse profiter tous les trois de ce petit weekend de détente.

Par rebeuxgays - Publié dans : récits hot
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Lundi 13 février 1 13 /02 /Fév 00:57

 

 

J'habite dans une cité parisienne en colocation avec mon cousin nordine. Un jour de grand soleil, je traverse la cité et je rencontre les meilleurs potes de mon cousin qui savent que je suis pédé. Bachir (grand, baraque, grosse bosse sous le jean) me demande une clope, je lui donne et là il me chope par la main et me demande:"pourquoi t'es pédé?".

Je ne réponds pas à sa question. Son pote Brahim répond à ma place en disant:"parcequ'il kiffe téter du zboub". Dans ma tête je me suis dit qu'il avait raison. Soudain, Bachir met son bras autour de mon cou et me dit "viens faut qu'on parle". Il me ramène dans son local a scooter avec ses 2 potes Brahim et Sofiane. J'commence à baliser...

Et là on commence à discuter normal de tout et de rien et Brahim commence à me tater le cul et Sofiane ramène ma tête vers sa teub. Je ne dis rien par peur de les enerver et surtout parce que j'attends ce moment depuis des lustres!!! Bachir de son coté roule son bédo et me regarde avec son regard de vicelard, je vois sa queue gonfler sous son jean. Brahim me met à 4 pattes, et moi comme une bonne chienne que je suis je commence à cambrer mon p'tit cul..

Ca les rend dingue, Sofiane sort sa queue déjà toute dure et l'enfonce au fond de ma bouche accueillante et me lime la gueule comme une pute. Bachir lui demande d'arreter, il s'approche de moi me regarde et commence à sortir sa teub et là j'ai halluciné, j'avais la bouche face à une queue d'au moins 24 cm sur 8!!!!!!

J'ai mouillé direct et je tire la langue pour lui montrer que j'suis bien chaude pour qu'il me la mette. Il passe derrière moi me fout 3 doigts me traite de salope mouille le bout de son gros gland d'algérien et me la met direct et là je hurle tellement elle est grosse. Pour me faire taire Brahim et Sofiane me mettent leurs 2 queues au fond de la gorge et là je commence à gémir comme une chienne...

Je veux pas que ça s'arrête j'ai deux bonne queues dans la bouche et une teub énorme au fond d'ma chatte. Je me rends compte que Bachir m'a enfoncé son zob sans mettre de capote et il me dit: "tu veux que j'te remplisse ta petite chatte avec mon jus?" je réponds "oui vas-y vide-toi les couilles dans mon trou". A peine dit aussitôt fait, je sens son jus bien chaud couler dans ma chatte.

Sofiane et Brahim se mettent à juter en même temps sur ma gueule. J'en ai plein le visage et plein la chatte, tout c'que j'aime... Les gars se rhabillent et me demandent si je veux bien être leur pute à dispo, evidemment j'accepte mais leur demande d'être discrets vis-à-vis de mon cousin Nordine...Je leur laisse mon numéro et leur dis que j'espère les avoir très bientôt dans mes trous...

Par rebeuxgays - Publié dans : récits hot
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